Mercredi 24 Novembre 1981 Après-Midi
En début daprès-midi AL se présenta à laccueil du bureau de Véro et fut aussitôt introduite et accueillie par une Véro qui se leva à son arrivée toute souriante. Contournant son bureau, elle prit AL dans ses bras, la serrant pour un doux corps à corps, en même temps elle prit les lèvres de AL, qui eut une légère hésitation avant de se laisser aller aux caresses dune langue gourmande et persuasive. Enfin Véro glissa une cuisse entre celles de AL, qui sécartèrent sans hésitation. Alors sen suivit un frottement de plus en plus intensif entre sexe et cuisses, où chacune se chauffée contre lautre. Enfin, ce jeu prit fin et Véro embrassant le cou de AL. Alors que Véro déboutonnait son corsage, AL larrêta en disant : « Et si quelquun vient,
»
Véro : « Ne tinquiètes pas, entrant tu as vu la petite lumière verte, il y aussi une rouge, cest interdiction dentrer,
»
AL : « Et personne nentre ??? »
Véro : » Non, dautant que je peux fermer la porte à clé. Cest un système que mn prédécesseur avait ait installer,
je pense quil lutilisait quand il sautait sa ou ses secrétaires, à ce poste le turn over était important,
donc pas de risques,
» et elle reprit le déboutonnage du chemisier et lui enleva et voyant son soutien-gorge elle lui dit : « Tu ne devrais pas porter ces trucs là,
»
AL : « Je nai lus une poitrine de gamine,
et sans,
mes étudiants nont pas leurs yeux dans leur poche,
ils nécouteraient plus,
, «
Véro : « Oui,
mais quand tu viens ici,
fais comme moi,
portes un quart de bonnet,
jaurais tes tétons à portée de bouche,
allez enlèves ça,
»
AL : « Mais,
je peux,
»
Véro : « Arrêtes,
tu as envie que je men occupe,
que je les lèches,
tu aimes,
obéis moi,
tu aimes mobéir, alors,
»
AL dont la respiration sétait légèrement accélérée, enleva son corsage puis son soutien gorge et remis son corsage, le laissant ouvert, alors que Véro prenait ses tétons en bouche les suçant, les tétant et même les mordillant, ce qui fit soupirer, AL, de plaisir.
Véro sappuyant sur le table, remonta sa jupe et écartant largement les cuisses : « Viens, fais moi jouir,
je te finirais après,
comme dis Jean : Bouffes moi la chatte,
je veux te sentir lécher mon minou,
me prendre avec tes doigts,
viens,
» AL en se penchant dit : « Tes quand même une belle garce,
» et pendant quelle commençait à investir son entrejambe, Véro lui répliqua : « La faute à qui
ou plutôt cest grâce à qui,
» et la conversation sarrêta là, car si Véro gémissait de plaisir, AL avait la bouche, les lèvres occupées à lécher, sucer les grosses lèvres gonflées et mouillées de Véro. Elle finit dans un souffle par lui dire : « Tes doigts,
prends moi avec tes doigts,
oui,
rentres,
baises moi avec tes doigts,
regardes, je mouvre pour toi,
» et elle ouvrit encore grand le compas de ses cuisses alors que AL, tout en léchant et buvant son jus de plaisir sactivait à la masturber : « Oui,
continues,
ne tarrêtes pas,
OOOHHHH,
OUUUIIII,
OOOHHHH,
.
AL : « Quelque fois,
»
Véro : « A moi de te donner du plaisir,
mets toi sur la table,
remontes ta jupe,
jai très envie de moccuper de toi,
» Obéissante, AL se posa sur la table et remonta sa jupe, même sans quon lui demande, cétait dans lordre des choses..
Puis Véro lui dit : « Laisses toi aller,
couches toi sur le dos,
(ce que docilement fit AL en écartant les jambes) Oui,
jaime te voir ainsi,
la chatte offerte,
je vais te gouter,
» et elle sinsinua entre les cuisses de AL et commença à lui lécher le minou, parcourant la raie entre ses deux grosses lèvres gonflées, dune langue pointue et curieuse, alors que ses mains prenaient possession de ses seins et les malaxer avec une douce brutalité. Ces caresses firent que AL commença à gémir doucement et que sa chatte souvrait et surtout shumidifiait généreusement.
Véro : « Tiens prends ton soutien-gorge,
mets le dans ton sac,
je garde ta petite culotte,
»
AL : « Mais non,
rends la moi,
tu en as déjà une,
»
Véro : « Je la garde,
dans lautre ton odeur a presque disparue,
car jaime sentir ton odeur,
et ça mexcite de te sentir,
alors,
»
AL : « Alors quoi,
»
Véro : « Tu veux un dessin,
quand jai envie,
si je sens ton odeur,
mes cuisses sécartent,
et je pense à toi,
maintenant part sil te plait,
» Un léger baiser et AL sen alla.
Alors que Véro se réinstallait à son bureau, elle eut un moment dhésitation se disant quelle était en train de faire une connerie, mais
quelle était encore excitée et quaprès son jeu lesbien avec AL, il lui manquait quelque chose,
et remontant sa jupe en écartant les cuisses, glissa sa main jusquà sa chatte,
se disant : « Tout compte fait, jai besoin dun homme,
dune queue qui me prenne,
qui me remplisse,
tout ça cest la faute à Jean,
sil ne mavait pas dragué, jaurais continué ma petite vie tranquille,
une petite baise de temps en temps,
et pour le reste je me débrouillais,
il a fallu quil apparaisse, je lui ai cédé,
oui,
je lai même encouragé,
mais il ma fait découvrir,
, que jaimais le sexe et ses plaisirs,
oui,
jai envie,
enfin juste une petite caresse, pour me calmer,
et je remets au boulot,
» et se laissant aller dans son fauteuil, les cuisses largement ouvertes, un doigt sintroduisit dans son minou tout chaud, qui lavala rapidement tellement il en avait envie. Il lui fallut peu de temps pour haleter et brutalement jouir. Se redressant dans son fauteuil et resserrant ses cuisses, elle se traita didiote car malgré tout, elle nétait pas satisfaite,
Et la décision à prendre lui sauta au visage,
elle appuya sur la sonnette, sa secrétaire arriva et elle lui demanda daller chercher le chauffeur. Oui cétait ça quil fallait faire,
en attendant elle prit une feuille et y inscrit : « Je tattends vers 5 heures. » et elle plia la feuille et là lui vint une idée excitante, elle glissa un doigt dans sa chatte limprégnant de son plaisir et lessuya doucement sur le mot et elle mit le tout dans une enveloppe quelle cacheta. Elle remit le tout au chauffeur en lui disant dapporter le mot à M. Jean et de lui rendre la réponse. Le chauffeur revint et lui dit : « Le patron est daccord, Madame»
Véro se remit au travail, le cur mais et surtout les sens enfin la chatte légèrement apaisée. Elle avança rapidement, dans son travail ne pensant quà ça quand surprise le téléphone sonna et sa secrétaire lui dit : « Monsieur Jean est là,
est ce que je peux lintroduire,
»
Véro : « Oui,
5 minutes, je finis un dossier,
» en fait de dossier, elle navait pas réalisé quil était 5 heures et elle voulait se refaire une beauté, donc elle réajusta son corsage pour mettre en avant sa poitrine et « zut, je nai pas remis mon soutien-gorge,
tant pis il sera content que je nai rien,
» tira sur sa jupe, et se donna un bon coup de peigne et un soupçons de parfum, et en même temps quelle mettait un sourire sur ses lèvre, elle appuya sur le bouton vert pour lautorisation de rentrée. Celle-ci fut poussé par Jean qui à peine rentrée : « Tu as un problème,
ton mot nest pas explicite,
»
Véro en sapprochant de lui : « Oui,
depuis lundi, je ne tai pas vu,
hop, hop,
je sais,
je suis débordé,
les chantiers,
la paperasse,
je connais,
mais moi jattends la bonne volonté de Monsieur,
jattends que Monsieur daigne soccuper de moi,
»
Pendant cette tirade Jean remarqua que ses seins avaient une certaine liberté, il attrapa Véro, la serrant contre lui, lembrassa sur la bouche, ce qui la fit taire et surtout cela permit à ses mains, la caressant dans le dos de sapercevoir quelle navait pas de soutif, donc, elle sétait préparée pour lui, donc, il fallait profiter de lopportunité. Cela pressenti, il glissa une jambe entre celles de Véro (ça marchait toujours, elle allait y frotter sa chatte). De la bouche il passa au cou, mais Véro ne lentendait pas comme ça. « Tu aurais pu passer,
même cinq minutes,
jai envie de toi,
dis moi que tas envie de moi,
que tu me veux,
comme tu as vu, je me suis préparée pour toi,
viens prends moi, ... je nattends que ça,
jai besoin que tu me prennes,
jai besoin dun homme,
le sentir me prendre,
me pénétrer,
je sens ta place dans ma chatte,
laisses moi vérifier que tu as envie de moi,
» et elle saccroupit, en un tourne main, short et caleçon était descendu et elle put voir que javais une trique très très sérieuse, elle prit donc laffaire en main : « Cela semble à la hauteur de mes envies,
jaime quand tu es comme ça,
je vais voir si cest du solide,
» et saccroupissant tout en me caressant les couilles , elle prit le gland en bouche, le léchant, , le suçant avec application et avec des soupirs de plaisir, enfin se redressant : « Viens,
je meurs denvie que tu me prennes,
que tu me baises,
non, que tu me montes,
comment tu veux,
parterre,
ou appuyée à le table,
viens, je suis folle de désir,
prends moi,
je ny tiens plus,
» et sappuya sur la table, elle mit en valeur son joli cul, bien solide et bien rond en relevant sa jupe. Il ny avait plus quà se diriger vers ce quon lui offrait et je guidais mon engin qui se dressait fièrement vers et dans son fourreau que je pénétrais facilement et profondément tellement il était ouvert, chaud, trempé de désir, ce qui déclencha : Oh,
oui,
cest bon,
oui baises moi,
jaime que tu me prennes comme ça,
que tu me montes,
oui,
baises moi fort,
» elle était tellement excitée et désireuse que rapidement: « Oui,
continues,
plus fort,
je sens que ça vient,
OUI,
OOOOHHH,
OUIIIIIIII,
» elle se contracta sous leffet spasme aussi brutal que soudain, ce qui, aussitôt, fit que cramponné à ses hanches je me vidais dun seul jet dans sa chatte. Sa respiration retrouvée, elle se redressa et vint se coller contre moi avec : « Cétait bon,
javais besoin que tu me prennes,
» de façon à la provoquer, je lui dis : « La prochaine fois,
je me viderais dans ta bouche,
»
Véro : « Oui,
jaime quand tu prends ma bouche
ton odeur,
attends,
» et remonta sa jupe, elle glissa une main sur sa chatte et y enfonça deux doigts, les ressortant enrobés de sperme et les porta à sa bouche pour le sucer avec un : « Tu vois,
je te goute,
viens sers moi fort, avant de partir,
au fait B ne rentre que mardi,
» et elle se colla à moi, on sembrassa alors que je lui disais : « Bien,
on fait comme la semaine dernière pour samedi »
Véro : « Non, pas possible, samedi je suis invitée par le directeur de la SCOA (Société des comptoir de louest africain) pour un diner daffaire,
je ne peux pas y échapper,
je vous rejoindrais le dimanche à la plage,
»
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!